Au courant des dernières semaines, nous avons eu le plaisir de travailler avec Sara Di Nardo, nouvelle membre de notre équipe basée à Montréal. Depuis le peu de temps qu’elle travaille avec nous, nous sommes déjà impressionnés par la façon dont Sara canalise ses goûts éclectiques pour le cinéma et la littérature, au travers de sa force rédactionnelle et de réflexion critique, tout en s’appuyant sur son expérience en relations publiques au sein du Concordia Film Festival.
Qu’aimes-tu le plus des relations publiques?
Le sentiment d’accomplissement lorsque quelque chose sur lequel vous avez travaillé si longtemps est enfin partagé avec le monde. Chaque fois qu’un projet auquel j’ai participé est publié sur un site Web, dans un magazine, ou référencé dans une émission de télévision ou de radio, c’est tellement gratifiant!
Quel a été le moment de ta carrière dont tu es le plus fier jusqu’à maintenant?
Travailler pour la 48e édition du Festival du film de Concordia (CFF). J’y ai travaillé en tant que coordinatrice des communications et commandites dans une équipe composée entièrement d’étudiants. Les films présentés au CFF n’ont pas seulement été réalisés par des étudiants de Concordia, mais aussi par des étudiants en cinéma provenant de pays à travers le monde. La raison pour laquelle je suis si fière du travail que j’ai fait là-bas est qu’au départ, l’équipe et moi avions des doutes concernant le fait que le festival allait se dérouler en ligne, mais le festival a fini par être un grand succès. Tous les films présentés furent excellents, nous avons reçu une couverture médiatique incroyable, plusieurs commandites et prix, et un grand nombre de personnes ont assisté à l’événement. En tant que coordinatrice des communications, je suis très heureuse de toute la couverture médiatique que le festival a reçue, tel qu’une apparition dans Cult Mtl. Cependant, mon plus grand accomplissement durant le festival a été d’obtenir Mubi, une plateforme de diffusion de films de renommée mondiale, comme l’un de nos commanditaires. Puisque nous sommes un festival dirigé par des étudiants, ce fût tout un honneur pour nous d’avoir pour commanditaire une compagnie de film aussi renommée.
Qui t’inspire le plus?
Une de mes plus grandes inspirations est Agnès Varda, une cinéaste française qui est malheureusement décédée en 2019. Je l’admire non seulement pour tous les obstacles auxquels elle a fait face en tant qu’une femme dans l’industrie du film, mais aussi pour ses réalisations qui sont pleines de vie et qui mettent l’accent sur la beauté des petites simplicités de la vie. C’était une femme d’esprit libre et en regardant ses films, nous pouvons totalement ressentir son amour pour la vie, ce qui fût très inspirant pour moi.
Quel est le dernier livre que tu as lu?
Le dernier livre que j’ai lu est Le Maître des illusions de Donna Tartt, qui était absolument incroyable ! L’auteure est principalement connue pour son livre Le Chardonneret, mais son premier livre, Le Maître des illusions vaut autant la peine d’être lu. C’est l’histoire d’un groupe d’étudiants d’un collège huppé au Vermont dans les années 1980 et, sans trop révéler l’histoire, les choses commencent à s’envenimer très rapidement. Le livre est tellement immersif et unique qu’on a l’impression de faire partie de l’histoire. Si vous aimez les histoires mystérieuses qui se passent dans des collèges de la côte Est Américaine, ainsi que des personnages complexes, ce livre est pour vous!
Quel serait ton voyage de rêve?
Mon voyage de rêve serait d’aller au Japon pendant quelques mois. Selon moi, ce pays se distingue par son unique dichotomie : d’une part, il y a Tokyo, une ville incroyablement moderne, reconnue pour sa technologie innovante et « futuriste », tandis que d’autres parties du pays, comme Kyoto, sont remplies d’histoires et elles sont étroitement liées au passé du Japon. Il y a tellement de choses que je veux visiter là-bas qu’il serait trop long de tous les énumérer! Cependant, en tête de ma liste, je veux absolument visiter le musée du Studio Ghibli, puisqu’en tant que grande fan des films Ghibli et d’Hayao Miyazaki, ce serait un rêve devenu réalité!